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[Vidéo] Carence fautive de l’État sur les algues vertes : le ministre de l’écologie Christophe Béchu botte en touche

CARENCE FAUTIVE SUR LES ALGUES VERTES : CHRISTOPHE BÉCHU BOTTE EN TOUCHE / Île-Grande - 25 août 2023
Christophe Béchu n’a pas expliqué comment le gouvernement comptait répondre à l’injonction des juges administratifs de lutter plus efficacement contre les algues vertes, lors de sa visite dans les Côtes-d’Armor, le 25 août 2023.

« Vous avez votre réponse », clôt Christophe Béchu. Et quelle réponse ! Lors de sa visite dans les Côtes-d’Armor, ce vendredi 25 août 2023, le ministre de la Transition écologique a été interrogé au sujet de la récente et inédite condamnation de l’État pour le préjudice écologique causé par la prolifération d’algues vertes en baie de Saint-Brieuc. « À ce stade », le ministre ne peut pas dire quelles suites seront données à cette décision. Tic-tac, il reste trois mois.

Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, s’est rendu à la station ornithologique de l’Île Grande, gérée par la Ligue de protection des oiseaux (LPO), le 25 août 2023. Venu avec Sarah El Haïry (secrétaire d’État à la biodiversité) et Hervé Berville (en charge de la mer) pour inaugurer la récente extension du périmètre de la réserve naturelle des Sept-Îles, qui abrite l’unique colonie de fous de Bassan en France, il a été reçu par le président de la LPO, Allain Bougrain-Dubourg.

Lors d’un rapide point presse, Christophe Béchu a été interrogé au sujet de la décision du tribunal administratif de Rennes rendue le 18 juillet, qui reconnaît pour la première fois le préjudice écologique des marées vertes. L’association Sauvegarde du Trégor Goëlo Penthièvre, présidée par le lanceur d’alerte Yves-Marie Le Lay, a obtenu la condamnation du préfet des Côtes-d’Armor pour carence fautive.

Les juges enjoignent à l’État de prévoir dans un délai de quatre mois des prescriptions applicables aux grandes exploitations agricoles pour limiter l’apport azoté et donc réduire le phénomène d’eutrophisation à l’origine des algues vertes. Les seuils doivent être conformes aux préconisations scientifiques. Le préfet doit aussi programmer un contrôle périodique des installations situées sur le territoire de la réserve naturelle.

Cette saison est marquée par un retour en force des algues vertes en baie de Saint-Brieuc. « Le mois d’août n’a pas connu la décroissance habituelle : leur présence est de 30 % supérieure aux normales saisonnières. À court terme, c’est inquiétant », renseignait Sylvain Ballu, le « monsieur algues vertes » du Centre d’étude et de valorisation des algues (Ceva), le 23 août, dans Ouest-France.

La réponse in extenso de Christophe Béchu

« La décision date du milieu du mois de juillet. On est un mois après. Le ministère est en train de regarder. La volonté de lutter globalement contre la prolifération des algues vertes et l’ensemble de ses conséquences, elle existe. On est plutôt sur des tendances au cours de ces dernières années qui sont moins négatives que celles qu’on a pu connaître par le passé. Ce sont des sujets qu’on prend très au sérieux, sur lesquels on se mobilise, mais je ne peux pas vous répondre de manière spécifique sur la suite qui sera donnée à cette décision du tribunal administratif puisqu’elle fait l’objet d’un examen croisé entre nos différents ministères. En revanche, elle nous rappelle qu’on a la nécessité d’agir et d’agir davantage, on n’a pas attendu cette décision pour le faire et c’est précisément ce que nous faisons depuis quelques années.

– Il semble qu’il y a un rebond de la présence d’algues vertes, en particulier dans les Côtes-d’Armor, cette saison.

– Écoutez pour le moment ce ne sont pas les éléments que j’ai. Vous savez qu’il y a une corrélation assez forte entre la météo et en particulier le taux de pluviométrie et la réalité d’une partie de cette prolifération. Ensuite, je me méfie des chiffres parce qu’entre les chiffres qui consistent à regarder ce qu’on a évacué et les chiffres qui consistent à regarder ce qu’on peut constater, il peut y avoir des écarts donc je ne me prête pas à…

– Non, ce sont les survols du Centre d’étude et de valorisation des algues (Ceva) en fait.

– A ce stade, vous avez votre réponse. »

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« Le syndicalisme pour changer la société », 50 ans de lutte vues par Solidaires Bretagne

C’est un film resté dans les cartons pendant quatre longues années. Une commande passée par Solidaires Bretagne au journaliste Gwenvaël Delanoë. Dans « Le Syndicalisme pour changer la société » – documentaire en trois parties visible ci-dessous -, plusieurs militant·es mus par les idéaux libertaires analysent l’émergence d’une structure singulière dans le paysage syndical, à l’heure du néolibéralisme triomphant.

« On voulait montrer la trahison de la social-démocratie et du syndicalisme d’accompagnement. On n’est pas si nombreux à avoir vécu ça de l’intérieur », explique d’emblée Serge Le Quéau. À 70 ans, l’ancien facteur siège depuis peu au Conseil social économique et environnemental (Cese) au nom de l’Union syndicale Solidaires. La prolongation d’une vie de lutte, essentiellement menée comme postier, du Finistère aux Côtes-d’Armor en passant par Paris. Porteur de divers mandats sous l’étiquette de la CFDT, il a vu son organisation, jadis autogestionnaire, se transformer sous l’ère Mitterrand. Jusqu’à à la rupture et la fondation de Sud PTT, en 1989.

« On pourrait encore en dire beaucoup sur les connivences entre Edmont Maire et Jacques Delors. François Ruffin a repris cette histoire dans “Faut-il faire sauter Bruxelles ?“, un fascicule sorti en 2014 », se remémore celui qui fut aussi l’un des fondateurs d’Attac dans les années 1990.

Floriane Hédé fait partie des militant·es auquel Serge Le Quéau a passé le flambeau, à La Poste comme au sein de Solidaires Côtes-d’Armor. Et qui souhaite faire vivre cette mémoire. Dans le film, elle témoigne depuis le port du Légué de la fermeture du centre de tri de Saint-Brieuc en 2012 et du mouvement des Gilets jaunes, auquel elle a participé.

Le documentaire réalisé par le journaliste Gwenvaël Delanoë aborde le retour du traitement policier des mouvements sociaux. Si la répression n’a fait que s’accentuer depuis 2019, Floriane Hédé retient une évolution positive et inattendue : « Sur les retraites, la CFDT a fait l’union jusqu’au bout ». Pas suffisant néanmoins pour l’emporter.

Rien qui n’empêche de faire circuler ce film, qui, jusqu’à sa mise en ligne la semaine dernière n’avait été vu que par quelques dizaines de privilégiés. Serge Le Quéau et Floriane Hédé aimeraient s’en servir comme support lors de débats publics. Et pourquoi pas tirer un livre des 50 heures de rushes qui dorment pour l’heure sur des disques durs ?

1968 – 1978 : La Révolution qui vient

Le syndicalisme pour changer de société 1
Engouements, perspectives et trahisons après Mai 68

1978-1995 : Un loup dans la bergerie

Le syndicalisme pour changer de société 2
De la « gauche » au pouvoir à la création de Sud

1995 – aujourd’hui : Arrêter le massacre

Le syndicalisme pour changer de société 3
Code du travail, retraites, les services publics : Les enjeux contemporains du syndicalisme

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[Vidéos et photos] Regard sur le samedi au festival du Chant de marin 2023

Force 5 sur Paimpol. Ce n’est pas le nom d’un des 160 groupes programmées au festival du Chant de marin, mais bien la vitesse atteinte par le vent sur le port. Obligeant les organisateurs à décaler l’ouverture des scènes Pempoull, Michel-Pinc et Le Gallant. Si les billetteries sont restées fermées, la météo n’y est cette fois pour rien. Pour la première fois, la jauge maximale des réservations a été atteinte. Soit plus de 50 000 paires d’oreilles pour écouter Matmatah, Lalala Napoli, Alela Diane, Folkrose, Lila Downs, Maria Mazzota ou encore Denez Prigent.

Pour vous plonger dans l’ambiance autour des quais, regardez par ici.

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Denez Prigent

DENEZ PRIGENT AU FESTIVAL DU CHANT DE MARIN 2023 / PAIMPOL - 5 août 2023

Lalala Napoli

LALALA NAPOLI AU FESTIVAL DU CHANT DE MARIN 2023 / Paimpol - 5 août 2023

Maria Mazzota

MARIA MAZZOTTA AU FESTIVAL DU CHANT DE MARIN 2023 / Paimpol - 5 août 2023

Lila Downs

LILA DOWNS AU FESTIVAL DU CHANT DE MARIN 2023 / Paimpol - 5 août 2023

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[Album photo] Le long des quais de Paimpol pendant le festival du Chant de marin 2023

Pour la première fois de son histoire, le festival du Chant de marin a dû refuser des visiteurs. La totalité des billets du samedi 5 août étaient épuisés la veille au soir. Ce sont donc au moins 45.000 personnes qui ont déambulé sur les quais de Paimpol cet après-midi, ne sachant où donner de la tête entre, d’un côté, 200 vieux gréements amarrés dans le port, et, de l’autre, les fanfares, bagads et autres troupes d’art de rue.

Pour vous remémorer les concerts du samedi en images, regardez par ici.

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[Vidéo] Inès Léraud, la plume dans la plage

« MON SUJET, C'EST LA FABRIQUE DU SILENCE EN BRETAGNE », INÈS LÉRAUD / Callac - 2 juin 2023

Passer de journaliste pigiste à héroïne de film, c’est la trajectoire inattendue suivie par Inès Léraud, dont trois années de vie sont portées sur grand écran dans « Les Algues vertes », de Pierre Jolivet. Méthode de travail, risques, engagements… Nous l’avions rencontrée le 2 juin 2023, lors d’une avant-première organisée dans le cinéma associatif de Callac (22).

Les Algues vertes est sorti en salles le 12 juillet 2023.

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[Vidéo] Retraites : Women on fire (sur l’air de Freed from desire)

RETRAITES : WOMEN ON FIRE (GALA : FREED FROM DESIRE) / Lannion - 7 février 2023

Les slogans féministes fleurissent lors des manifestations contre le report de l’âge légal de départ à la retraite. S’estimant particulièrement pénalisées par le projet de loi porté par Élisabeth Borne et voulu par Emmanuel Macron, des militantes trégorroises ont formé le collectif des Rosies pour interpréter une chorégraphie avant les prises de parole syndicales, à Lannion (Côtes-d’Armor).

Mardi 7 février, entre 4 000 et 7 000 personnes ont de nouveau manifesté autour des quais de Lannion pour protester contre la retraite à 64 ans.

Sur la scène montée pour les prises de parole syndicale, le collectif des Rosies danse sur des chansons détournés par Attac, l’Association pour la taxation des transactions financières pour l’action citoyenne. En témoigne Women on fire, à chanter sur l’air de Freed from desire, le tube de Gala sorti en 1996.

Les Rosies désignent les femmes travailleuses qui ont joué un rôle clé pendant la Seconde Guerre mondiale. Elles étaient représentées dans une célèbre affiche de propagande américaine et travaillaient dans des usines et des chantiers navals pour soutenir l’effort de guerre. Les Rosies ont ouvert de nouvelles opportunités pour les femmes sur le marché du travail et sont considérées comme des symboles de l’émancipation féminine.

Les slogans féministes ont fleuri dans les rangs de la manifestation contre la retraite Macron, à Lannion, le 7 février 2023. Crédits : Sylvain Ernault - La Déviation
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[Vidéo] Lannion veut faire battre Macron en retraite

LANNION POUR LE RETRAIT DE LA RETRAITE MACRON / 31 janvier 2023

Mardi 31 janvier 2023, au moins 7.100 personnes manifestent à Lannion (Côtes-d’Armor) contre le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans et la suppression de plusieurs régimes dits spéciaux. Les syndicats, qui affichent un front uni, revendiquent 10.000 participants. C’est l’une des plus fortes mobilisations sociales dans le Trégor de ces vingt dernières années.

« Chaque gouvernement a sa réforme des retraites. C’est malheureux qu’ils veulent à chaque fois casser au lieu d’améliorer », déplore Romain, étudiant à l’Enssat. Âgé de 24 ans, l’élève ingénieur imagine faire partie des derniers à pouvoir partir à la retraite, avec des indemnités en baisse par rapport à ses aïeux. « Cette réforme va appauvrir une plus grande part de la population. Le régime qu’on a est stable. C’est juste qu’ils veulent le casser pour faire davantage de bénéfices, du côté des entreprises notamment. »

Comme plus de 7.100 trégorrois, Romain a rejoint le point de rendez-vous fixé par l’intersyndicale, sur le quai d’Aiguillon, en centre-ville de Lannion, ce mardi 31 janvier 2023, en fin de matinée. Après les discours, le défilé s’ébranle, rythmé notamment par la fanfare Waso.

« Ajouter une mesure d’âge est inefficace, juge Stéphane Duthil, délégué syndical CFDT chez Nokia. J’ai commencé à 23 ans. Si j’ai 43 années de cotisation, j’arrive à 66 ans. Donc les 64 ans sont utiles pour qui ? » L’inscription d’une mesure d’âge dans le projet de loi a fait basculer la confédération dirigée par Laurent Berger dans le camp des farouches opposants.

« Je n’ai pas envie de travailler jusqu’à 64 ans, renchérit Yann Labarthe, salarié chez Weldom. On a un métier qui est physique, avec des ports de charges lourdes. En plus du service à la personne, on fait pas mal de manutention. »

« Macron ira jusqu’au bout, mais il le paiera très très cher »

Malgré la démonstration de force, les manifestants restent prudents quant aux chances de remporter le bras de fer engagé avec le gouvernement.

Maël, webdesign indépendant, est venu manifester en famille contre la politique d'Emmanuel Macron. Crédits : Sylvain Ernault - La Déviation
Maël, webdesign indépendant, est venu manifester en famille contre la politique d’Emmanuel Macron. Crédits : Sylvain Ernault – La Déviation

Maël rappelle qu’Emmanuel Macron a déjà vécu la loi Travail et Nuit debout sous François Hollande, en 2016, puis la crise des Gilets jaunes, en 2018-2019. « Il ira jusqu’au bout, mais il le paiera très, très cher. Et puis il est jeune, il devra vivre avec ça très longtemps. » Flanqué d’une pancarte en forme de borne routière sur laquelle il est inscrit 49.3, le webdesigner lannionnais prédit « le début d’une série de manifs ou de colères sociales », portant également sur l’hôpital, l’éducation ou « les institutions démocratiques en perte de vitesse ».

Yann Labarthe observe les difficultés de ses collègues à se mettre en grève. « Ils ont déjà des salaires assez restreints, en baisse depuis l’augmentation de tous les prix. »

Parmi les inconnus figurent aussi le maintien de l’unité syndicale, inédite depuis douze ans, et qui a permis d’atteindre des niveaux de participation jamais vus depuis 2010. Nombre de manifestants tablent sur une défection de la CFDT. À ce sujet, Stéphane Duthil se veut rassurant. « Il n’y a pas qu’une seule et même idée, on a tous des idées différentes, mais on est tous rassemblés sous la même bannière pour manifester contre cette injustice. »

Une semaine avant le début de l’examen du projet de loi dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, la mobilisation s’est renforcée dans tout le pays. Au total, entre 1,270 (Intérieur) et 2,800 millions (CGT) de personnes ont défilé dans plus de 200 villes, sans heurts notables. Les villes moyennes connaissent des taux d’engagement proportionnellement plus élevés que les métropoles.

« La réforme des retraites suscite des interrogations et des doutes. Nous les entendons », a assuré la première ministre Elisabeth Borne. Deux nouvelles dates ont été fixées par l’intersyndicale, les mardi 7 et samedi 11 février.

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Didot méritait mieux avant de raccrocher les crampons

Le Nîmes Olympique est revenu au score (2-2) face à l’En Avant de Guingamp, lors de la seconde mi-temps de cette rencontre comptant pour la 37e journée de Ligue 1 de football, disputée au stade municipal de Roudourou, le samedi 18 mai 2019.

Les deux équipes se quittent sur un score nul, après une partie débridée, mais sans enjeu. Les Bretons sont sûrs d’être relégués en Ligue 2 depuis le weekend précédent tandis que les Crocos se situent dans le haut du ventre mou.

Le Paimpolais Etienne Didot a bénéficié d’une ovation debout, lors de son remplacement par Guessouma Fofana. Il disputait son dernier match à domicile avant de mettre fin à sa carrière de joueur professionnel. Jocelyn Gourvennec a saisi l’occasion pour donner sa première cap au jeune Louis Carnot, formé dans la réserve et fils de l’ancien cadre guingampais Stéphane Carnot.

En revanche, Marcus Thuram et son remplaçant Nolan Roux ont été copieusement sifflés par une partie du public. Les deux attaquants de l’équipe la moins offensive du championnat en termes de buts inscrits sont donnés sur le départ.

Le Kop Rouge a également réclamé la démission du président Desplat, par le biais d’un chant et d’une banderole dépliée en deuxième période. Le premier club de supporteurs guingampais s’est dispensé de toute animation, comme annoncé la veille par le biais d’un communiqué, en signe de protestation après cette saison catastrophe.

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Tenu en échec par Malherbe, Guingamp ne s’en relèvera pas

L’En Avant de Guingamp a laissé échapper la dernière occasion (ou presque) de rattraper le Stade Malherbe de Caen, dans la course au barrage pour le maintien, en concédant le nul (0-0), lors de la 35 journée de Ligue 1 de football, le 4 mai 2019, au stade municipal de Roudourou. Les Bretons comptent cinq points de moins que les Normands, alors qu’il ne reste plus que trois journées.

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L’OM éteint un peu plus la flamme de l’espoir guingampaise

L’Olympique de Marseille a battu l’En Avant de Guingamp par 3 buts à 1, au stade municipal de Roudourou, lors de la 33e journée de Ligue 1 de football, le 20 avril 2019. L’OM, provisoirement 4e, se rapproche de Lyon dans l’optique du podium. L’EAG s’éloigne à quatre points de Dijon pour accrocher la 18e place, synonyme de barrage pour le maintien.

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Jovetic et Monaco privent Guingamp des trois points

L’En Avant de Guingamp a été rejoint au score dans les dernières secondes du temps additionnel. Stevan Jovetic a égalisé, profitant d’un cafouillage dans la surface. Il répond à Félix Eboa Eboa, auteur d’une tête à la 23e minute.

Le partage des points est logique dans cette rencontre de la 31e de journée de Ligue 1 de football, où chaque équipe a gagné une période. Il n’en est pas moins rageant pour Guingamp, dernier de Ligue 1, malgré la défaite caennaise face à Nîmes.

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L’En Avant de Gourvennec passe devant le Dijon de Kombouaré

L’En Avant de Guingamp est sorti de la zone rouge pour la première fois depuis août 2018, en battant le Dijon Football Côtes-d’Or, 1 à 0, lors de la 29e journée de Ligue 1 de football, le samedi 16 mars 2019, au stade municipal de Roudourou. Ludovic Blas a transformé un penalty (86e), sifflé après une faute du gardien Bobby Allain sur Marcus Thuram.

Ce match sans relief a été marqué par l’entrée de Ronny Rodelin (72e) pour remplacer le milieu Medhdi Merghem, pour la première fois titulaire en Ligue 1 et auteur d’une prestation solide. L’ancien caennais, pris en grippe par le public, a été copieusement sifflé, ce qui a fortement déplu au joueur et à certains de ses coéquipiers. En signe de protestation, la traditionnelle – bien que rare cette saison -, célébration de la victoire a d’abord été snobée par une partie du groupe.

Au bout de cinq minutes de palabres, sur la pelouse comme dans les couloirs, les Guingampais (dont Rodelin) sont réapparus sur le terrain pour un « clapping » orchestré par Ludovic Blas face au Kop Rouge. Jocelyn Gourvennec, Bertrand Desplat comme Jérémy Sorbon ont minimisé l’incident en zone mixte.

Les hommes de Jocelyn Gourvennec (22 points) passent devant ceux d’Antoine Kombouaré (21) et doublent également les Caennais (20), lourdement battus par Saint-Etienne (0-5), au même moment. Les Guingampais peuvent maintenant profiter de la trêve internationale pour préparer leur finale de Coupe de la Ligue, qui sera jouée le 30 mars, face au RC Strasbourg, à Lille.

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